Le personnel scolaire doit adopter des pratiques propres à mieux comprendre les réalités entourant la résilience et le bien-être des personnes nouvellement arrivées, des peuples autochtones, des personnes LGBTQIA2S+ et de tout autre groupe marginalisé. Cette compétence s’avère cruciale dans la création de contextes d’apprentissage et de vie propices à l’épanouissement – voire à la guérison – de chaque élève.

« Pour ces élèves à qui la vie a imposé de vivre un conflit armé, un traumatisme historique ou toute autre expérience potentiellement traumatisante, l’école peut s’avérer un endroit supplémentaire d’insécurités, de stress et de détresse… Ou encore un havre de paix qui nourrit leurs forces et leur capacité à surmonter les défis. »